Oui, je suis beau, je suis noir, noir comme l’ébène. Cette ébène qui est tombé et qui maintenant est taché par le tourment, par les larme et le mélange des terre ... En clair, chers équidé, je suis noire avec des larmes bleues coulant sur mes joues sans jamais tomber, des spirales bleues sur mes pattes tournant infiniment sans jamais effectuer aucun mouvement et une queue tachetée comme salie par la honte le désespoir et la bêtise ! Tout ça sur un corps d'arabe tenu de mon cher père avec des pattes de cheval de selle français venant de la "digne" lignée de ma mère.Ma hauteur?je n'ai aucune mesure exacte.Mais disons un peu au dessus de la moyen.Et puis de toute façon qu'est ce que cela peut bien de faire?!Cela va t'il changer le regard que tu portera sur moi?J'en doute fort.

Mon caractère ? Voyons cela fait partie des chose que je ne serais expliquer ! Essayons quand même. Soyer mes amis et peut être obtiendrez vous das quelque années un sourire sincère,mais soyer sur de ma fidélité.Les amis sont sacrée,jamais je ne pourrais laisser sombrer les rares que j'ai.... Mais parlons du reste ... Je suis narcissique et égocentrique,tout tourne toujours autour de moi,moi et moi. Je suis comme ça et je ne changerait pas. Des notre première rencontre je serais si je vous apprécierait ou non.Et si ce n'est pas le cas alors c'est que vous ète particulièrement particulier. J’évite tous ceux qui sont potentiellement capable de l'emporter sur moi physiquement comme moralement.Je ne suis peut-être pas un génie mais je suis loin d’être si bête.J'analyse les gens, et j'aurais toujours plus tendance a les détruire moralement que physiquement. Mais cela ne ne m’empêche pas de me battre si nécessaire,si je me sens trop menacé ou autres.Et surtout sachez que je déteste être humilier,une simple moquerie m'irrite ,elle ne me blesse pas elle allume un feu.Et lorsque je suis énerver j'ai tendance a agir bêtement ,sans médité sur mes actes,et sur mes paroles.Assez parler de moi a présent je n'aime pas livrer mes secrets.

Je suis née d'une union d'un soir.D'une mère Plein de sang de selle français et d'un père au trait fin du cheval arabe.Une fois que le jument mu porter pendant onze mois,la jument que je n'ai jamais pu appeler mère,elle mis bats et me laisser aux pattes d'un jeune arabe,désemparer.Elle a disparue suite a cela.Et je ne sais pas ce qui lui est arrivé.Rien de bon je l'espère.Mon père lui était bienveillant   et toujours souriant.Ho je l'aimait,il était seul et il  ne savait presque rien faire,mais il savais au moins me donner tout l'amour et l’attention nécessaire a mon bonheurs.Aussi loin que je m'en souviens j'ai toujours eu un ami qui m'était fidèle.Tous les deux nous étions fou et inconscient,en courant dans l'eau et sans remarquer les paysages magnifique qui nous entourait.Mais nos parents était toujours la pour veiller sur nos jeux innocents.Seulement ce bonheur ne pouvais pas durer toujours.Arriva un age ou nous voulions tous découvrir et tous explorer.De plus mon caractère développent l’insolence,je n’écoutait plus personne,et rien ne me rendait la raison.Un soir après une farouche dispute avec mon paternelle je partie aussi loin que possible entrainant mon cher ami avec moi.Nous avons tellement galoper ,je me souviens de la fatigue et de la douleurs de mes membre et de notre souffle haletant.Nous nous sommes arrêter dans un endroit calme et sombre,mais la fatigue n'avait pas bruler toute mes force et je me rappelle encore de la fureur que je ressentait,comprenez que lorsque que l'on annonce a un adolescent que l'on na même pas tenter de retenir sa mère lorsque l'on aurais pu,il n’apprécie pas forcement.Avec de recule je sais au combien ma réaction a été stupide.Après un brève repos nous sommes descendue dans les entrailles de la terre dans des grottes,froide et déserte.J’entends encore les supplications de mon partenaire d'aventure que ne demandait qu'a rentrer chez lui...Ho si seulement je l'avait écouté.Nous sommes arrivé devant un petit lagon claire et limpide.Au centre il y avait une grande et blanche licorne.Je m’approchât et je vis les trait de son expressions si dure étaient t'ils .Et sans doute par manque d'une présence maternelle je lui demanda qui était t'elle et que faisait t'elle la,sur un ton que personne n'aurait apprécier.elle sourit et lorsque que je l'ai remarquer j'ai su que regretterai ce moment toute ma vie,que je regretterai ce ton,ces paroles,que je regretterai d’être ici ,d'avoir fuis et galoper en cet direction.Ceux qui on le pouvoir on tendance a tuer et ce jours la,ne fit pas exception.Mon regretter ami vacilla et tomba au sol,je tourna mon regard pour chercher le siens mais je ne vit rien dans ces yeux.Je sentis alors le souffle de la licorne près de moi et je soutint son regard.Puis je sentie mes yeux mes ailes et mes membres me bruler aussi atrocement que l'on puisse le pense et plus encore.Et après je ne me souviens plus.Je sais seulement qu'a mon réveille ma robe si noir ne l'était plus et j’étais désespérément seul.J’ai crier jusqu’à ne plus en pouvoir le nom de celui qui m'avait toujours accompagner et qui ne m’accompagnerait plus maintenant.Et j'ai mis des jours et des jours,dans la solitude,a comprendre,que le silence m'avait plus effrayer que out les mots du monde,que le vie dans c'est conditions,ronger par le remord et marquer afin de ne jamais oublier était bien pire que la mort.Je n'ai jamais osée retourner voir mon père parce que je savais que je ne trouverais que de la déception et de la tristesse dans ses yeux.Et pire encore il faudrait que j'affronte le regard de la mère de celui que j'avais entrainer la dedans.Alors jamais je ne suis revenue.Et toujours je ère seul en méprisant tous ceux que je croise.

ancienne version je vous déconseille de la lire!: